Ils ont fait PIRE QUE BALENCIAGA : le cas GORSAD KIEV

JNOGUES 01/23/2023 Répondre Signaler un abus

Ces photos ne sont que le calme qui précède la tempête.
Ce qui me stupéfie le plus, c'est le succès de ces iconographies de dingues. Comment des êtres normaux peuvent-ils gamberger sur des images pareilles, semblant prises dans un asile de fous ? ces amateurs-là sont au moins aussi dingues et répugnants que les créateurs de ces images dégradantes de la pire misère humaine ! l'être humain qui a pris la photo de ce pauvre jeune homme physiquement délabré et mentalement agonisant avec ses fèces entre ses aines et ses hauts de cuisse, cet être humain, dis-je, ne mérite qu'une chose, brève et silencieuse : une b*lle entre les deux yeux, juste avant son départ , même pas dans un costume en sapin, pour une décharge publique. Ce monde des branchés qui se régalent à visionner ou à publier ces saloperies est vraiment détraqué, dégénéré, satanique, infernal, un ramassis de déchets humains.

Raven 01/23/2023 Répondre Signaler un abus

Tous ses salauds sont à abattre, sans discussion ni murmure. Point.