Crise Covid-19 - Les Secrets Devoiles - Draw my economy et Pierre Chaillot

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Date d'envoi: 03/04/2023

Etiquettes: vaccins   covid   statistiques  

Crise Covid-19 - Les Secrets Devoiles - Draw my economy et Pierre Chaillot

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JNOGUES 03/04/2023 Répondre Signaler un abus

Cette vidéo est honnête et intéressante. Ce statisticien fait son travail avec conscience et intelligence. Je le place à côté de la courageuse Mme COTTON, que le pouvoir s'est ingénié à réduire au silence, ce qui le couvre de honte. Cette dame mériterait une médaille FIELDS pour son travail sur les vaccins de Pfizer.

Ce qu'on conclut de ces observations pertinentes de Pierre Chaillot, c'est qu'on ne peut plus faire confiance à la médecine.

Et si on creuse un peu plus, on comprend que ce qui tue cette confiance est double :

1) le monde de l'argent pourrit tout ce qu'il y a d'humain dans la vraie médecine avec serment d'Hippocrate sincère.

2) l'intervention de la bureaucratie gouvernementale, donc in fine, de la POLITIQUE, est un second tueur de la confiance en la vraie médecine, aussi pernicieux que l'argent, et qui devient immonde quand l'argent s'allie à la politique.

J'ai en mémoire la campagne de vaccination contre la polio en juin-juillet 1958. Je venais à peine de faire mes dix-sept ans.

A) le gouvernement de de Gaulle, tout frais émoulu après les événements de mai 1958, ne s'est mêlé de RIEN. On a su, par le bouche à oreille, que le vaccin Saks-Sabin anti-polio était disponible en pharmacie, GRATUITEMENT, et dans les bureaux de tabac contre 15 anciens francs, prix immuable des timbres-poste ordinaires à cette époque. Il y a eu un bref communiqué de ce gouvernement pour dire qu'il laissait aux médecins le soin d'organiser eux-mêmes la vaccination, et cette allocution se terminait par de sympathiques cocoricos du style :

"Notre médecine est une des meilleures du monde, et nous lui faisons toute confiance pour faire au mieux dans l'intérêt de la France, des françaises et des français".

B) Il n'y a eu AUCUNE CAMPAGNE DE PRESSE, ni écrite, ni radiodiffusée, ni télévisuelle (la tv en était alors à ses tout débuts dans la plus grande partie de la France ; seule la région parisienne commençait à s'équiper). Je me souviens, dans "La dépêche du Midi", un petit entrefilet de 4 lignes de hauteur et 5 cm de longueur, en caractères ordinaires, pour avertir les lecteurs sobrement, sans le moindre commentaire, que le vaccin Saks-Sabin anti-polio était disponible en pharmacie gratuitement.

C) Et pourtant, la France entière s'est carrément RUEE SUR CE VACCIN. Car le pays était traumatisé par les horreurs de la polyomyélite. Les personnes atteintes , dans les cas les plus bénins, finissaient leur vie boîteuses ou paralysées d'un bras, d'un membre, d'un muscle du visage, ou même de tout un côté ; mais surtout, les cas les plus terribles étaient la paralysie des muscles respiratoires ; pour survivre avec cet horrible handicap, il fallait alors vivre dans un "poumon d'acier", toute la vie restante. Des gens faisaient leurs études dans cette sorte de cercueil à pattes pour vivants. Certains "polios" y passaient leur baccalauréat ou y suivaient des cours d'université pour décrocher une licence de quelque chose. Il y a eut des records macabres : des gens qui avant de rendre leur âme à Dieu, avaient vécu dans un poumon d'acier jusqu'à un âge de plus de soixante ans ! La population ne se plaignait jamais et n'incriminait personne, simplement les personnes atteintes désiraient vivre malgré tout et n'attendaient de futurs progrès que par la vraie science. Tout cela était limpide, psychiquement sain, silencieux, sur fond d'espoir qu'on plaçait dans un futur qu'on n'osait pas immédiat mais en lequel on nourrissait une vague confiance, PARCE QUE LA POPULATION FAISAIT CONFIANCE A LA VRAIE SCIENCE.

Ainsi sans campagne médiatique, sans intervention du gouvernement, sans publicité, par le simple bouche à oreille, les français, seuls comme des grands, sans aucune obligation ni contrainte, se sont massivement fait vacciner quand ils ont su que ce vaccin empêchait de devenir victime de cette atroce maladie qu'on appelait alors "paralysie infantile", mais qui frappait aussi des jeunes gens et des adultes.

Moi-même je pratiquais à l'époque des sports peu innocents, comme l'escalade sérieuse et la gymnastique sur agrès (anneaux, barre fixe, barres parallèles, cheval d'arçon etc). J'avais ce qu'on appelait "la pleine forme", comme beaucoup de mes camarades. C'est par un copain de sport que j'ai su, fortuitement, que n'importe qui pouvait se vacciner contre la polio, que les pharmacies étaient dévalisées de leurs stocks mais que pour 15 francs anciens, on en trouvait encore dans les bureaux de tabac. J'ai pu en trouver dans le bureau de tabac de mon quartier de ma bonne ville de P.....S (09). Il s'agissait de deux sucres à faire fondre sous la langue à 15 jours d'intervalle. Une brève notice, sur papier d'enveloppe de bonbon, précisait que ce vaccin unique protégeait pour la vie entière.

De fait, durant mes études supérieures, que j'ai entamées à 17 ans, je n'ai jamais eu à connaître, ni dans mes proches ni dans la presse, UN SEUL CAS de contamination par la polio ! alors que jusqu'à mes 16 ans, il ne se passait pas de semaine où la presse, par des entrefilets du style "chiens écrasés", n'annonçait pas au moins un cas de poliomyélite quelque part dans mon département 09. C'était funèbre, terrorisant, mais sans bruit et sans commentaire.

Tout ces souvenirs précis m'ont permis de faire des comparaisons, qui m'ont immédiatement provoque une horreur indicible de cette campagne "COVID" et m'ont fait soupçonner la grosse arnaque et instillé beaucoup de rancune ; car cette affaire COVID m'a immédiatement semblé un machin autoritaire qui gâchait terriblement la vie et tuait la joie de vivre. Je ne comprendrai et n'admettrai jamais qu'un gouvernement se mêle par-dessus le monde médical de la gestion de notre santé, c'est de la dictature et rien de plus ! La polio a terrorisé, mais elle n'a jamais porté atteinte à la joie de vivre. On plaignait les victimes en plaçant nos espoirs dans l'avenir, c'est tout ! mes lecteurs jugeront.....certains d'entre eux, peut-être, ont connu cette campagne de vaccination anti-polio de juin-juillet 1958. Ils seront d'accord avec moi pour dire ou penser : "QUELLE DIFFÉRENCE ! "

JNOGUES 03/04/2023 Répondre Signaler un abus

Cette vidéo est honnête et intéressante. Ce statisticien fait son travail avec conscience et intelligence. Je le place à côté de la courageuse Mme COTTON, que le pouvoir s'est ingénié à réduire au silence, ce qui le couvre de honte. Cette dame mériterait une médaille FIELDS pour son travail sur les vaccins de Pfizer.

Ce qu'on conclut de ces observations pertinentes de Pierre Chaillot, c'est qu'on ne peut plus faire confiance à la médecine.

Et si on creuse un peu plus, on comprend que ce qui tue cette confiance est double :

1) le monde de l'argent pourrit tout ce qu'il y a d'humain dans la vraie médecine avec serment d'Hippocrate sincère.

2) l'intervention de la bureaucratie gouvernementale, donc in fine, de la POLITIQUE, est un second tueur de la confiance en la vraie médecine, aussi pernicieux que l'argent, et qui devient immonde quand l'argent s'allie à la politique.

J'ai en mémoire la campagne de vaccination contre la polio en juin-juillet 1958. Je venais à peine de faire mes dix-sept ans.

A) le gouvernement de de Gaulle, tout frais émoulu après les événements de mai 1958, ne s'est mêlé de RIEN. On a su, par le bouche à oreille, que le vaccin Saks-Sabin anti-polio était disponible en pharmacie, GRATUITEMENT, et dans les bureaux de tabac contre 15 anciens francs, prix immuable des timbres-poste ordinaires à cette époque. Il y a eu un bref communiqué de ce gouvernement pour dire qu'il laissait aux médecins le soin d'organiser eux-mêmes la vaccination, et cette allocution se terminait par de sympathiques cocoricos du style :

"Notre médecine est une des meilleures du monde, et nous lui faisons toute confiance pour faire au mieux dans l'intérêt de la France, des françaises et des français".

B) Il n'y a eu AUCUNE CAMPAGNE DE PRESSE, ni écrite, ni radiodiffusée, ni télévisuelle (la tv en était alors à ses tout débuts dans la plus grande partie de la France ; seule la région parisienne commençait à s'équiper). Je me souviens, dans "La dépêche du Midi", un petit entrefilet de 4 lignes de hauteur et 5 cm de longueur, en caractères ordinaires, pour avertir les lecteurs sobrement, sans le moindre commentaire, que le vaccin Saks-Sabin anti-polio était disponible en pharmacie gratuitement.

C) Et pourtant, la France entière s'est carrément RUEE SUR CE VACCIN. Car le pays était traumatisé par les horreurs de la polyomyélite. Les personnes atteintes , dans les cas les plus bénins, finissaient leur vie boîteuses ou paralysées d'un bras, d'un membre, d'un muscle du visage, ou même de tout un côté ; mais surtout, les cas les plus terribles étaient la paralysie des muscles respiratoires ; pour survivre avec cet horrible handicap, il fallait alors vivre dans un "poumon d'acier", toute la vie restante. Des gens faisaient leurs études dans cette sorte de cercueil à pattes pour vivants. Certains "polios" y passaient leur baccalauréat ou y suivaient des cours d'université pour décrocher une licence de quelque chose. Il y a eut des records macabres : des gens qui avant de rendre leur âme à Dieu, avaient vécu dans un poumon d'acier jusqu'à un âge de plus de soixante ans ! La population ne se plaignait jamais et n'incriminait personne, simplement les personnes atteintes désiraient vivre malgré tout et n'attendaient de futurs progrès que par la vraie science. Tout cela était limpide, psychiquement sain, silencieux, sur fond d'espoir qu'on plaçait dans un futur qu'on n'osait pas immédiat mais en lequel on nourrissait une vague confiance, PARCE QUE LA POPULATION FAISAIT CONFIANCE A LA VRAIE SCIENCE.

Ainsi sans campagne médiatique, sans intervention du gouvernement, sans publicité, par le simple bouche à oreille, les français, seuls comme des grands, sans aucune obligation ni contrainte, se sont massivement fait vacciner quand ils ont su que ce vaccin empêchait de devenir victime de cette atroce maladie qu'on appelait alors "paralysie infantile", mais qui frappait aussi des jeunes gens et des adultes.

Moi-même je pratiquais à l'époque des sports peu innocents, comme l'escalade sérieuse et la gymnastique sur agrès (anneaux, barre fixe, barres parallèles, cheval d'arçon etc). J'avais ce qu'on appelait "la pleine forme", comme beaucoup de mes camarades. C'est par un copain de sport que j'ai su, fortuitement, que n'importe qui pouvait se vacciner contre la polio, que les pharmacies étaient dévalisées de leurs stocks mais que pour 15 francs anciens, on en trouvait encore dans les bureaux de tabac. J'ai pu en trouver dans le bureau de tabac de mon quartier de ma bonne ville de P.....S (09). Il s'agissait de deux sucres à faire fondre sous la langue à 15 jours d'intervalle. Une brève notice, sur papier d'enveloppe de bonbon, précisait que ce vaccin unique protégeait pour la vie entière.

De fait, durant mes études supérieures, que j'ai entamées à 17 ans, je n'ai jamais eu à connaître, ni dans mes proches ni dans la presse, UN SEUL CAS de contamination par la polio ! alors que jusqu'à mes 16 ans, il ne se passait pas de semaine où la presse, par des entrefilets du style "chiens écrasés", n'annonçait pas au moins un cas de poliomyélite quelque part dans mon département 09. C'était funèbre, terrorisant, mais sans bruit et sans commentaire.

Tout ces souvenirs précis m'ont permis de faire des comparaisons, qui m'ont immédiatement provoque une horreur indicible de cette campagne "COVID" et m'ont fait soupçonner la grosse arnaque et instillé beaucoup de rancune ; car cette affaire COVID m'a immédiatement semblé un machin autoritaire qui gâchait terriblement la vie et tuait la joie de vivre. Je ne comprendrai et n'admettrai jamais qu'un gouvernement se mêle par-dessus le monde médical de la gestion de notre santé, c'est de la dictature et rien de plus ! La polio a terrorisé, mais elle n'a jamais porté atteinte à la joie de vivre. On plaignait les victimes en plaçant nos espoirs dans l'avenir, c'est tout ! mes lecteurs jugeront.....certains d'entre eux, peut-être, ont connu cette campagne de vaccination anti-polio de juin-juillet 1958. Ils seront d'accord avec moi pour dire ou penser : "QUELLE DIFFÉRENCE ! "