Ema Krusi 3 h

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Date d'envoi: 05/11/2022

Etiquettes: dictature   eveil   resistance  

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JNOGUES 05/12/2022 Répondre Signaler un abus

Excellente intervention, Ema !

Alors que faire ? car en rester à votre constat lucide et irréfutable, reviendrait à ne pas mourir idiot, mais à courber le dos par force, à vie.

Dans les conditions actuelles, la seule solution est de boycotter toutes les élections en n'y participant pas. Tant que l'abstention reste contenue dans des proportions gérables, elle ne dérange le système que marginalement. Mais le jour où elle dépasserait 60 % de façon soutenue, ça deviendrait intenable pour les grands chefs occultes qui font faire le sale boulot par leurs marionnettes politiciennes. La non-représentativité avérée est un poison pour les élus, car le peuple les vomit.

Mais un boycott suivi de rien, c'est un peu court. On est bien forcés de rester dans les clous pour seulement réussir à parler à des masses.

Je vois trois revendications de base qu'il faudrait populariser pour espérer qu ça bouge :

1) interdire le système des partis, qui fait des députés des caniches aux ordres des chefs de parti, lesquels imposent , chacun, une ligne politique conçue par ses vrais maîtres occultes. Ce système se débarrasse des électeurs, qui ne servent plus à rien dès le moment précis de la clôture du scrutin. Les partis débattent entre eux dans le strict cadre imposé par les maîtres occultes. L'électeur est écrabouillé par ce système.

Le remède possible ? chaque député ne représente que ses électeurs et n'a nul besoin de s'associer avec ses congénères pour accomplir son mandat. Là on peut s'inspirer des votations à la Suisse. Ce sont des référendums directs à l'échelon très local moins que cantonal. Les;Suisses son très souvent sollicités pour ces votations, où ils se voient poser une trentaine de questions purement locales pour lesquelles on demande leur avis, et le système majoritaire tranche de ce qui sera décidé : ce sera rigoureusement ce qu'ont voulu ces micro-majorités locales.Voici comment ça fonctionne : les députés suisses présentent des questions. Par exemple :

''Question 1 : nos finances ne permettent pas de tout faire fois, alors nous, avons de l'argent soit pour réparer le pont sur l'Aar, qui donne des signes de fatigue, soit pour restaurer les façades de l'école primaire, qui menacent ruine. A vous, électeurs, de choisir entre les deux options.(.......)''

Ce système est populaiire et efficace, ainsi les élections ultra-locales ne concernent chaque fois qu'une petite partie des électeurs. Précision : d'où viennent les questions ? réponse : possiblement des députés, qui se renseignent sur les problèmes locaux. Mais aussi, des Suisses eux-mêmes, grâce au référendum d'initiative populaire. Par exemple :

'' la route entre X et Y est dévastée, pleine de nids de poule, y circuler devient un enfer'' (.......) A cet échelon, il suffit d'une pétition de 50 000 électeurs pour que la question soit posée à la prochaine votation, où oui non on décidera une dépense pour réparer la route.

Ce système est très souple, il peut parfois donner lieu à des votations à l'échelle de la Suisse tout entière. Exemple : il a peu d'années, a eu lieu une votation nationale pour décider si oui ou non il serait toléré que des minarets s'élèvent au coeur des mosquées en construction. Après deux ou trois ans de débats nationaux et dans la presse, où les points de vue opposés se sont longuement affrontés sans résultat, la votation nationale a fini par s'imposer. La grande orese et les hiérarques du sommet de lEtat étaient plutôt favorables à l'autorisation des minarets. Le peuple suisse en a décidé autrement, en donnant une confortable majorité à l'interdiction pure et simple des minarets. Cette décision a été appliquée tout de suite, et depuis on n'en parle plus.

Précision : enn Suisse, les députés ne rrçoivent aucune indemnité de fonction pour exercer leur mandat. Ils sont indemnisés pour leurs frais incontournables, essentiellement leurs déplacements. L'Etat leur demande des factures détaillées et vérifie, pour les frais d'hôtel, de restaurant, etc, que les députés ont choisi, les moins chers. Une fois acccptées ces dépenses, les députés sont remboursés sur les bases les moins chères, mais ..... avec un an de décalage !

Le résultat est qu'il reste très peu de questions nationales à débattre en Suisse. Ainsi, pour faire simplement toiletter une loi,on examine longuement si c'est nécessaire (je ne parle pas de réforme, car pour faire passer la moindre réforme, c'est le parcours du combattant, il faut des années où l'on regarde avec soin si elle est réellement nécessaire, si elle n'est pas trop ruineuse, etc.). Il y a en tout et pour tout en Suisse SEPT ministres, qui ne reçoivent de l'Etat aucun salaire. Comme les députés, ils sont défrayés de leurs dépenses incontournables.
Il y un président de la république Suisse, lui non plus n'est pas rémunéré. Il se rend à pied à son bureau. Il est moins favorisé que ses ministres : comme il ne se déplace jamais, il ne reçoit aucune indemnité pour dépenses de fonction. Il est très mal vu, pour les citoyens Suisses de refuser le poste de président de la République, car c'est considéré comme un honneur, et le refuser serait insultant pour la démocratie suisse.

Les impôts (y compris sur le revenu) sont décidés à l'échelon cantonal et non national. L'impôt sur le revenu est voté dans chaque canton avec un plafond de pourcentage des revenus personnels qu'il est interdit de dépasser. Par exemple dans le canton de Zürich, il est interdit à l'Etat de dépasser, pour l'impôt sur le revenu, 8 % des revenus personnels des contribuables. Dans les cantons les plus chers, il est interdit de dépasser 20 %.

2) Le système de groupes à l'A.N. française devrait être aboli. Il se superpose au système des partis et permet de faire passer des lois révoltantes à des heures nocturnes indues où ne siègent que moins de 10 députés. C'est une insulte à la démocratie.

Pour voter des lois, peu importe lesquelles, il est clair qu'il faut exiger la présence de TOUS les députés. Et il faudrait sanctionner sévèrement les absences sans motifs sérieux (maladie, accident ou autre...). Ainsi, entre l' interdictiondes groupes et des partis, et l'obligation de voter les lois, uniquement avec la présence de tous les députés, il deviendrait beaucoup moins facile de faire passer des lois à la chaîne comme ça, se passe en France depuis le début des années 1970 (le système des clés pour faire voter un seul député membre d'un groupe pour la totalité des députés du groupe a été introduit autour de 1970). C'est pour cette raison que les lois prolifèrent et sont votées en rafales désespérantes en France. Un problème ? répo,nse du pouvoir français : une proposition du gouvernement, une approbation mécanique du parti du président, un vote par au plus 10 députés en séance avec un seul député qui vote pour tout le groupe dominant, un impôt consécutif à ce vote et des fonctionnaires pour faire payer cet impôt nouveau). C'est ainsi que toutes les lois votées entre jullet 2017 et le 10 avril 2022 en France on été votées par LaREM sans coup férir, laquelle représentait 15 % du peuple français. Comme l'a souvent fait remarquer un député humoriste sous le mandat de Hollande :

''Avec le système français actuel, le gouvernement n'a plus besoin d'électeurs pour régner et fonctionner''.

Autrement dit, la France fonctionne depuis 2017 comme une vraie dictature féroce et arbitraire d'un seule personne, le président, qui s'assied tranquillement sur la Constitution, sans que les grands corps de l'Etat s'émeuvent contre ces violations de nos lois. Exemple : aujourdhui, le président, en violation de otre Constitution, décide seul de soutenir à fond les va-t-en-guerre en Ukraine en envoyant aux bandes qui règnent cruellement dans ce pays des armes en quantités massives. A aucun moment, il n'a été demandé aux français leur avis sur ces décisions, d'autant plus que le peuple de base français est naturellement, depuis plus de 130 ans, majoritairement bien disposé envers les russes.

François Asselineau a ainsi répertorié plusieurs dizaines de lois constitutionnelles violées par le président macron. Chacune de ces violations aurait pu conduire à la destitution du président, mais aucun député ne s'est levé pour la demander.....

3) Il faut revendiquer avec force l'instauration d'un système sévère de prévention des fraudes électorales, qui deviennent en France un véritable cancer de la démocratie. Ces fraudes honteuses deviennent en France monnaie courante à tous les niveaux, contrairement à ce que s'imaginent les citoyens lambda. Depuis l'informatisation, la fraude sévit à tous les niveaux : listes électorales caviardées, chiffres truqués, bulletins de vote falsifiés, (avec de mini-déchirures très peu visibles qui en fait des bulletins nuls), et j'en passe. Nous, sommes arrivés à un point où si on glisse une enveloppe de vote dans une urne, on ne sait pas pour qui le vote sera décompté. Cette situation décourageante incite à l'abstention systématique pure et simple.


Les possibilités de fraude sont multiples etb terriblement aggravées par le système des procurations et des votes par correspondance. Il est très probable que tous ces votes sont largement transformés en votes pour le candidat que les maîtres occultes veulent faire gagner.

Si on veut réellement supprimer radicalement toute fraude électorale, il faut interdire les procurations et les votes par correspondance, il faut abroger la loi qui permet aux incapables de voter, et il faut absolument interdire l'informatique dans le décompte des voix exprimées. Avant l'informatique, on était parfaitement capable de décompter les votes manuellement.

Mais ce n'est pas tout : le système actuel rend quasi-impossible de prouver les fraudes avec une certitude qui tiennele couàp devant n'importeb quelle cour de Justice. Pour une raison honteuse : les bulletins qui ont servi aux votes sont systématiqueent brûlés après le scrutin. Dans les petites communes, ils sont brûlés le soir même. Dans les villes, ils sont ainsi détruits au plus tard 15 kjours après le scrutin, or il faut bien plus de 15 jours pour monter un dossier de protestation pour fraude tenant le coup dans un tribunal.

Voicice qu'ilfaut faire si on veut réellement supprimer toute fraude petitge ou grande.
Ilfaut constituer des archives complètes, vérifiées nonpar des assesseurs mais par des huissiers, dans chaque bureau de vote; ces dossiers seront au nombre, en moyenne d'environ 500 par département. Ces dossiers seront stockkés dans chaque département dans une pièce avec scellés. Des copies conformes des P.V. de chaque bureau de vote
doivent être certifiées par huissier avec appositioind 'un cachet inviolable, de sorte qu'on ne pourra les consuter que par la vue, sans que jamais le dossier circule entre des mains. Mais surtout surtout, ilfaudra que ces dossiers par bureaux de vote comprennent la totalité des bulletins quiont été glissés dans les urnes par les votants.

Car SEULE LA CONSERVATIOIN DE TOUS CES BULLETINS DE VOTE BUREAU PAR BUREAU_PEUT GARANTIR QU'ON POURRA PROCEDER, SI NECESSAIRE, AU RECOMPTAGE DES VOIX. Que chacun y réflléchisse, à cause de l'anonymat du vote, la destruction des bulletins de vote ayant servi à voter rend impossible toute preuve certaine d'une fraude. Par exemple pour une élection nationale comme la présdentielle, on aura entre 50 000 et 75 000bureaux de vote, ce n'est pas la mer à boire de traiter tout ça manuellement avec des calculettes modernes. Avec une dizaine de personnes qualifiées par bureau de vote, cela peut être traité en une nuit.

Il est évident que si de telles dispositions étaient prises pour, empêcher sérieusement les fraudes, on verrait bien plus de changement entre deux présidentielles successives, et la démocratie en sortirait renforcée, alors qu'elle est en train de perdre toute crédibilité depuis l'irruption des abstentions de masse.

Le système que je préconise rendrait mécaniquement impossibles les trucages lamentables des listes électorales, qui eux aussi sont aujourd'hui l'un des ingrédients de la fraude.

JNOGUES 05/12/2022 Répondre Signaler un abus

Excellente intervention, Ema !

Alors que faire ? car en rester à votre constat lucide et irréfutable, reviendrait à ne pas mourir idiot, mais à courber le dos par force, à vie.

Dans les conditions actuelles, la seule solution est de boycotter toutes les élections en n'y participant pas. Tant que l'abstention reste contenue dans des proportions gérables, elle ne dérange le système que marginalement. Mais le jour où elle dépasserait 60 % de façon soutenue, ça deviendrait intenable pour les grands chefs occultes qui font faire le sale boulot par leurs marionnettes politiciennes. La non-représentativité avérée est un poison pour les élus, car le peuple les vomit.

Mais un boycott suivi de rien, c'est un peu court. On est bien forcés de rester dans les clous pour seulement réussir à parler à des masses.

Je vois trois revendications de base qu'il faudrait populariser pour espérer qu ça bouge :

1) interdire le système des partis, qui fait des députés des caniches aux ordres des chefs de parti, lesquels imposent , chacun, une ligne politique conçue par ses vrais maîtres occultes. Ce système se débarrasse des électeurs, qui ne servent plus à rien dès le moment précis de la clôture du scrutin. Les partis débattent entre eux dans le strict cadre imposé par les maîtres occultes. L'électeur est écrabouillé par ce système.

Le remède possible ? chaque député ne représente que ses électeurs et n'a nul besoin de s'associer avec ses congénères pour accomplir son mandat. Là on peut s'inspirer des votations à la Suisse. Ce sont des référendums directs à l'échelon très local moins que cantonal. Les;Suisses son très souvent sollicités pour ces votations, où ils se voient poser une trentaine de questions purement locales pour lesquelles on demande leur avis, et le système majoritaire tranche de ce qui sera décidé : ce sera rigoureusement ce qu'ont voulu ces micro-majorités locales.Voici comment ça fonctionne : les députés suisses présentent des questions. Par exemple :

''Question 1 : nos finances ne permettent pas de tout faire fois, alors nous, avons de l'argent soit pour réparer le pont sur l'Aar, qui donne des signes de fatigue, soit pour restaurer les façades de l'école primaire, qui menacent ruine. A vous, électeurs, de choisir entre les deux options.(.......)''

Ce système est populaiire et efficace, ainsi les élections ultra-locales ne concernent chaque fois qu'une petite partie des électeurs. Précision : d'où viennent les questions ? réponse : possiblement des députés, qui se renseignent sur les problèmes locaux. Mais aussi, des Suisses eux-mêmes, grâce au référendum d'initiative populaire. Par exemple :

'' la route entre X et Y est dévastée, pleine de nids de poule, y circuler devient un enfer'' (.......) A cet échelon, il suffit d'une pétition de 50 000 électeurs pour que la question soit posée à la prochaine votation, où oui non on décidera une dépense pour réparer la route.

Ce système est très souple, il peut parfois donner lieu à des votations à l'échelle de la Suisse tout entière. Exemple : il a peu d'années, a eu lieu une votation nationale pour décider si oui ou non il serait toléré que des minarets s'élèvent au coeur des mosquées en construction. Après deux ou trois ans de débats nationaux et dans la presse, où les points de vue opposés se sont longuement affrontés sans résultat, la votation nationale a fini par s'imposer. La grande orese et les hiérarques du sommet de lEtat étaient plutôt favorables à l'autorisation des minarets. Le peuple suisse en a décidé autrement, en donnant une confortable majorité à l'interdiction pure et simple des minarets. Cette décision a été appliquée tout de suite, et depuis on n'en parle plus.

Précision : enn Suisse, les députés ne rrçoivent aucune indemnité de fonction pour exercer leur mandat. Ils sont indemnisés pour leurs frais incontournables, essentiellement leurs déplacements. L'Etat leur demande des factures détaillées et vérifie, pour les frais d'hôtel, de restaurant, etc, que les députés ont choisi, les moins chers. Une fois acccptées ces dépenses, les députés sont remboursés sur les bases les moins chères, mais ..... avec un an de décalage !

Le résultat est qu'il reste très peu de questions nationales à débattre en Suisse. Ainsi, pour faire simplement toiletter une loi,on examine longuement si c'est nécessaire (je ne parle pas de réforme, car pour faire passer la moindre réforme, c'est le parcours du combattant, il faut des années où l'on regarde avec soin si elle est réellement nécessaire, si elle n'est pas trop ruineuse, etc.). Il y a en tout et pour tout en Suisse SEPT ministres, qui ne reçoivent de l'Etat aucun salaire. Comme les députés, ils sont défrayés de leurs dépenses incontournables.
Il y un président de la république Suisse, lui non plus n'est pas rémunéré. Il se rend à pied à son bureau. Il est moins favorisé que ses ministres : comme il ne se déplace jamais, il ne reçoit aucune indemnité pour dépenses de fonction. Il est très mal vu, pour les citoyens Suisses de refuser le poste de président de la République, car c'est considéré comme un honneur, et le refuser serait insultant pour la démocratie suisse.

Les impôts (y compris sur le revenu) sont décidés à l'échelon cantonal et non national. L'impôt sur le revenu est voté dans chaque canton avec un plafond de pourcentage des revenus personnels qu'il est interdit de dépasser. Par exemple dans le canton de Zürich, il est interdit à l'Etat de dépasser, pour l'impôt sur le revenu, 8 % des revenus personnels des contribuables. Dans les cantons les plus chers, il est interdit de dépasser 20 %.

2) Le système de groupes à l'A.N. française devrait être aboli. Il se superpose au système des partis et permet de faire passer des lois révoltantes à des heures nocturnes indues où ne siègent que moins de 10 députés. C'est une insulte à la démocratie.

Pour voter des lois, peu importe lesquelles, il est clair qu'il faut exiger la présence de TOUS les députés. Et il faudrait sanctionner sévèrement les absences sans motifs sérieux (maladie, accident ou autre...). Ainsi, entre l' interdictiondes groupes et des partis, et l'obligation de voter les lois, uniquement avec la présence de tous les députés, il deviendrait beaucoup moins facile de faire passer des lois à la chaîne comme ça, se passe en France depuis le début des années 1970 (le système des clés pour faire voter un seul député membre d'un groupe pour la totalité des députés du groupe a été introduit autour de 1970). C'est pour cette raison que les lois prolifèrent et sont votées en rafales désespérantes en France. Un problème ? répo,nse du pouvoir français : une proposition du gouvernement, une approbation mécanique du parti du président, un vote par au plus 10 députés en séance avec un seul député qui vote pour tout le groupe dominant, un impôt consécutif à ce vote et des fonctionnaires pour faire payer cet impôt nouveau). C'est ainsi que toutes les lois votées entre jullet 2017 et le 10 avril 2022 en France on été votées par LaREM sans coup férir, laquelle représentait 15 % du peuple français. Comme l'a souvent fait remarquer un député humoriste sous le mandat de Hollande :

''Avec le système français actuel, le gouvernement n'a plus besoin d'électeurs pour régner et fonctionner''.

Autrement dit, la France fonctionne depuis 2017 comme une vraie dictature féroce et arbitraire d'un seule personne, le président, qui s'assied tranquillement sur la Constitution, sans que les grands corps de l'Etat s'émeuvent contre ces violations de nos lois. Exemple : aujourdhui, le président, en violation de otre Constitution, décide seul de soutenir à fond les va-t-en-guerre en Ukraine en envoyant aux bandes qui règnent cruellement dans ce pays des armes en quantités massives. A aucun moment, il n'a été demandé aux français leur avis sur ces décisions, d'autant plus que le peuple de base français est naturellement, depuis plus de 130 ans, majoritairement bien disposé envers les russes.

François Asselineau a ainsi répertorié plusieurs dizaines de lois constitutionnelles violées par le président macron. Chacune de ces violations aurait pu conduire à la destitution du président, mais aucun député ne s'est levé pour la demander.....

3) Il faut revendiquer avec force l'instauration d'un système sévère de prévention des fraudes électorales, qui deviennent en France un véritable cancer de la démocratie. Ces fraudes honteuses deviennent en France monnaie courante à tous les niveaux, contrairement à ce que s'imaginent les citoyens lambda. Depuis l'informatisation, la fraude sévit à tous les niveaux : listes électorales caviardées, chiffres truqués, bulletins de vote falsifiés, (avec de mini-déchirures très peu visibles qui en fait des bulletins nuls), et j'en passe. Nous, sommes arrivés à un point où si on glisse une enveloppe de vote dans une urne, on ne sait pas pour qui le vote sera décompté. Cette situation décourageante incite à l'abstention systématique pure et simple.


Les possibilités de fraude sont multiples etb terriblement aggravées par le système des procurations et des votes par correspondance. Il est très probable que tous ces votes sont largement transformés en votes pour le candidat que les maîtres occultes veulent faire gagner.

Si on veut réellement supprimer radicalement toute fraude électorale, il faut interdire les procurations et les votes par correspondance, il faut abroger la loi qui permet aux incapables de voter, et il faut absolument interdire l'informatique dans le décompte des voix exprimées. Avant l'informatique, on était parfaitement capable de décompter les votes manuellement.

Mais ce n'est pas tout : le système actuel rend quasi-impossible de prouver les fraudes avec une certitude qui tiennele couàp devant n'importeb quelle cour de Justice. Pour une raison honteuse : les bulletins qui ont servi aux votes sont systématiqueent brûlés après le scrutin. Dans les petites communes, ils sont brûlés le soir même. Dans les villes, ils sont ainsi détruits au plus tard 15 kjours après le scrutin, or il faut bien plus de 15 jours pour monter un dossier de protestation pour fraude tenant le coup dans un tribunal.

Voicice qu'ilfaut faire si on veut réellement supprimer toute fraude petitge ou grande.
Ilfaut constituer des archives complètes, vérifiées nonpar des assesseurs mais par des huissiers, dans chaque bureau de vote; ces dossiers seront au nombre, en moyenne d'environ 500 par département. Ces dossiers seront stockkés dans chaque département dans une pièce avec scellés. Des copies conformes des P.V. de chaque bureau de vote
doivent être certifiées par huissier avec appositioind 'un cachet inviolable, de sorte qu'on ne pourra les consuter que par la vue, sans que jamais le dossier circule entre des mains. Mais surtout surtout, ilfaudra que ces dossiers par bureaux de vote comprennent la totalité des bulletins quiont été glissés dans les urnes par les votants.

Car SEULE LA CONSERVATIOIN DE TOUS CES BULLETINS DE VOTE BUREAU PAR BUREAU_PEUT GARANTIR QU'ON POURRA PROCEDER, SI NECESSAIRE, AU RECOMPTAGE DES VOIX. Que chacun y réflléchisse, à cause de l'anonymat du vote, la destruction des bulletins de vote ayant servi à voter rend impossible toute preuve certaine d'une fraude. Par exemple pour une élection nationale comme la présdentielle, on aura entre 50 000 et 75 000bureaux de vote, ce n'est pas la mer à boire de traiter tout ça manuellement avec des calculettes modernes. Avec une dizaine de personnes qualifiées par bureau de vote, cela peut être traité en une nuit.

Il est évident que si de telles dispositions étaient prises pour, empêcher sérieusement les fraudes, on verrait bien plus de changement entre deux présidentielles successives, et la démocratie en sortirait renforcée, alors qu'elle est en train de perdre toute crédibilité depuis l'irruption des abstentions de masse.

Le système que je préconise rendrait mécaniquement impossibles les trucages lamentables des listes électorales, qui eux aussi sont aujourd'hui l'un des ingrédients de la fraude.