Le futur programme de macron c'est harari qui en parle le mieux

JNOGUES 06/06/2022 Répondre Signaler un abus

La puissante Nature écrasera ces fous dégénérés comme des fétus de paille.

Les humains sont des produits naturels créés par une Nature quenous ne comprenons que très marginalement et surtout pas encore dans son essence. Le corps humain individuel est d'une fragilité matérielle inimaginable, un rien le détruit. Ce rien peut être une soudaine inadaptation à des changements brusques et imprévisibles des milieux naturels.

La machines que voudraient créer ces imbéciles qui se prennent pour Dieu sont encore plus fragiles que les corps humains individuels.Qu'une nouvelle Grande Glaciation survienne trop vite (par exemple en moins de quelques millénaires : Milankovitch a situé la prochaine d'ici les années 25 000 ou 30 000, ce qui est poussière à l'échelle de l'évolution de la Vie sur terre), et cette prochaine Grande Glaciation détruira absolument tout ce qu'a créé l'homme occidental actuel en moins de 50 siècles. Aucun réseau d'électricité ne sera possible. Aucune voie de communication ne pourra plus exister, donc les moyens de déplacement seront ceux de notre Préhistoire, on n'aura même pas la roue (sur les glaces, elle ne sert à rien). La Vie subsistera sous des formes rudimentaires dans des micro-sociétés réduites à de faibles espaces sous les Tropiques, sans réel pouvoir sur leur environnement. Nos civilisations devront redémarrer à zéro après la débâcle de cette prochaine Grande Glaciation, , car la glace environ triple de celle de l'Antarctique dévorera absolument tout. Les vivants survivants vivront juste le temps de se reproduire et auront passé tout le temps de leur courte vie à trouver de la nourriture de piètre valeur. La Pensée humaine sera réduite à presque rien. Pourtant ce peu de vraie pensée suffira à une survie même sous forme élémentaire, car la Vie, contrairement aux plus sophistiquées machines inventées, est capable de prévoir de minuscules portions d'avenir. Alors qu'aucune machine au monde ne peut prévoir l'avenir immédiat, quelle que faible soit sa durée. Aucune machine ne peut savoir ce qui va se passer 10^{-20} secondes après l'instant où elle est, sans le savoir, en train d'exister.

Ces milliardaire de Davos ne démontrent qu'une chose : leur incapacité à concevoir dans toute sa grandeur l'aventure de la Vie dans l'Univers. Nous ne la connaissons que sur Terre, ce qui nous empêche de l'imaginer sous d'autres formes qu'ici. Le vrai combat de la Vie, c'est le développement des études sur les lois de la Physique, lois dont nous ne connaissons presque rien, bien qu'à notre échelle ce presque rien soit beaucoup. Ce psychologisme de pacotille qui excite tellement des esprits faibles arriérés comme ces gens de Davos ne peut mener à rien, la moindre grosse panne électrique générale les laissera tous comme des cons, dépouillés en un instant de leur pseudo-pouvoir minable.Ces gens n'ont mené aucun cycle d'études fondamentales réellement scientifiques. Seuls les grands esprits ont entrevu, de leur minuscule place, les grands mystères de l'Univers qui constituent pour la vraie science un champ de recherche et d'exploration absolument infini.La conscience que cette exploratyion ne pourra jamais s'achever est déjà une bonne étape dans ce processus d'accumulation de la Connaissance.

Au lieu de vaticiner sur des questions débiles telles que ''qu'allons-nous faire de tous ces humains ?'' (question très facile à résoudre si on développe la connaissance scientifique véritable), une évolution rationnelle de nos sociétés humaines devrait nous opposer en grand les quelques grands mystères qui résistent au point où nous, en sommes arrivés :

1) le mur de la vitesse de la lumière peut-il oui ou non être un jour franchi ?

2) Les théories simplettes du Big Bang conduisent à imaginer un univers fini,ce qui heurte le bon sens. Tout cela repose sur l'expansion de l'Univers, mais de plus en plus de bons esprits se déclarent non convaincus de cette expansion, dont la seule preuve réside dans le fameux décalage vers le rouge. Ces bons exprits, qui commencent à publier leurs idées, contestent que ce décalage vers le rouge soit vraiment la preuve d'une expansion générale douée d'ubiquité, ils mettent en cause la possible dégradation des signaux lumineux dans des voyages d'une longueur inimaginable : nous qui ne vivons, au mieux, qu'un siècle, nous nous comportons comme si on comprenait l'écoulement du temps comme une réalité, alors que les confins de l'univers actuellement observable, soit entre 15 et 20 milliards de nos années actuelles, c'est-à-dire 2 X 10^8 siècles mesurés en années actuelles, était concevable. Comment pouvons nous affirmer qu'un signal supposé traverser sans encombre une telle quantité de siècles, n'évolue pas au cours de son voyage qui écrase notre imagination ? (2 X 10^8 siècles !). Mais en plus de ce mur de l'infini, il en existe un autre : oui ou non, existe-t-il un mur de l'infiniment petit ? ou bien tout est-il indéfiniment divisible en concepts toujours plus composites quelle que soit l'échelle déjà atteinte dans l'exploration de l'infiniment petit ? et pire que cela, l'écoulement du temps est-il de type discret ou de type continu, au sens des grand ancêtres comme Georg Cantor si injustement oublié depuis trop de décades? aujorud'hui nous sommes capables de séparer deux instants successifs à un intervalle de 10^{-19} secondes....cela doit-il 'arrêter ?

Einstein a passé les 20 dernières années de sa vie, à Princeton, à chercher vainement à unifier la théorie des champs, en ramenant tout à une sorte de matrice universelle de tous les champs physiques possibles. Les jeunes générations d'étudiants le moquaient gentiment, à cause cette recherche qui n'aboutissait jamais (Einstein ne faisait alors dans sa vie rien d'autre que chercher cette Pierre Philosophale d'un nouveau genre). Cette dérision sur le mode mineur était une vague prescience de ces jeunes, qui comprenaient vaguement que cette quête d'une sorte de Graal n'était pas le bon chemin pour aller plus loin dans la connaissance des secrets de la Nature.

Devant ces grandes vraies questions que se posent aujourd'hui des centaines de milliers d'humains de très grande valeur intellectuelle, ce forum de Davos n'est que poussière dérisoire et méprisable, puérilité, débilité et impasse spirituelle digne d'un jardin d'enfants autistes capricieux qui tapent du pied pour s'exprimer quand ça ne va pas comme ils le veulent. Leurs joujoux qui remplissent toute leur pauvre pensée, ce sont des bouts de papier sur lesquels il y a écrit des chiffres qui mesurent quelque chose d'évanescent qu'ils appellent ''dollar''. Qu'un incendie ravage les stocks de ces bouts de papier, et les voilà réduits à la mendicité dans les rues.