Effets indesirables-Pourquoi ne voit-on pas ces videos au 20 heures

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Date d'envoi: 02/04/2022

Etiquettes: vaccins   covid  

Effets indesirables-Pourquoi ne voit-on pas ces videos au 20 heures

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JNOGUES 02/06/2022 Répondre Signaler un abus

Le titre de cette vidéo pathétique est une question.

Or je signale aux internautes que la réponse complète à cette question se trouve développée de façon accablante et magistrale dans la vidéo suivante :

''Pfizer - la plus grande escroquerie mondiale detricotee Yadequoi 04-02-2022 - Vues: 7503'',

disponible très près de l'actuelle vidéo sur le site TVS24.ru

Il est très important de partager au maximum auprès du grand public ces deux vidéos en même temps, ce serait une lutte bien plus efficace que les injures gratuites qui ne font rien avancer. La qualité de ces deux vidéos les rend présentables, devant n'importe quel tribunal honnête, comme éléments à charge. On y voit clairement comment des milliers et des milliers de personnes tuées ou invalidées à vie de façon insupportable sont toutes recevables à déposer des plaintes pour assassinat ou auteurs de graves blessures irréversibles dans la seule intention de gagner de l'argent. Ces faits méritent à coup sûr la qualification de crimes contre l'humanité, comme l'a déjà jugé le tribunal des commun dont le jugement sans appel traduit en français figure dans une autre vidéo de TVS24.ru.

Dans le grand public, on évoque souvent l'affaire du sang contaminé.

La vidéo des 500 médecins canadiens ''JUSTES'' démontre que les fautes de Pfizer sont d'une gravité bien plus impardonnable que les fautes des personnes impliquées dans l'affaire du sang contaminé.

Je me souviens avec une grande précision des débats dans l'affaire du sang contaminé : scientifiquement, on pédalait dans la choucroute. Le débat principal a été, au moins pendant trois ans, le suivant : la séropositivité conférait-elle oui ou non une immunité au sida ? durant ces trois ans, cette question n'a pas reçu de réponse accompagnée de preuves irréfutables, donc chez les spécialistes compétents, les hypothèses fusaient en tous sens. Lorsque l'évidence finit par
s'imposer, à savoir : non, la séropositivité ne confère aucune immunité, elle n'est qu'un premier stade, hélas, de la maladie complète qui ira fatalement jusqu'au bout (sauf dans des cas rarissimes comme il en existe dans toutes les maladies, même le cancer).
C'est alors seulement qu'on put rechercher des responsabilités et des culpabilités et que les dépôts de plaintes devinrent recevables. Les meilleurs infectiologues et cancérologues défilèrent sur les écrans de tv, qui furent assaillis de questions parcle grand public. L'un d'eux, dont la notoriété dominait l'ensemble, s'exprima un jour d'une manière qui clôtura ces débats télévisés ; en quelque sorte, il parla le dernier. Et voici ce qu'il exprima, je me souviens des paroles exactes :

''en réalité, nous avons tous été coupables...........COUPABLES DE NE PAS SAVOIR''.

Et quoi, qu'on en pense, l'invention de cette expression un peu cocasse de ''responsable mais pas coupable'', l'expression ''tous coupables de ne pas savoir'' était juste, doù l'indulgence relative font firent preuve les divers tribunaux, toute honte bue. La qualification de crime contre l'humanité ne fut ni demandée sérieusement ni reconnue. Par exemple, Laurent FABIUS y perdit sa carrière politique, lui qui se voyait succéder un jour ou l'autre à Giscard d'Estaing. Certes, il avait commis des fautes en signant en connaissance de cause, en tant que Premier Ministre, des documents qui faisaient état de prises de sang forcées chez les pensionnaires des prisons, mais la croyance sous-jacente générale était plutôt en faveur de l'hypothèse que la séropositivité immunisait.

Tandis que dans l'affaire actuelle du ''vaccin'' Pfizer, aucune excuse analogue n'est de mise. On se trouve là devant une mafia qui a tué et estropié en connaissance de cause dans le seul but clair de gagner beaucoup beaucoup d'argent. Donc la comparaisoin avec l'affaire du sang contaminé est fausse : l'actuelle affaire du COVID et des falsifications volontaires mises en évidence par les 500 médecins canadiens est bien plus grave, et l'expression ''coupables de ne pas savoir'' ne peut absolument pas être invoquée. Il serait extrêmement inquiétant pour toute la communauté humaine que toute cette affaire ne se termine pas tôt ou tard par un énorme scandale au niveau mondial. Il y a vraiment trop de décès et de vies brisées, de personnes vivant une pauvre vie écourtée dans une chaise roulante, voire un lit roulant ; comme le dit sans relâche le pr Montagnier, ce n'est moralement pas acceptable.

JNOGUES 02/06/2022 Répondre Signaler un abus

En post scriptum à mes deux messages précédents, je signale que dans la masse incroyable de fautes volontaires dénoncées par les 500 médecins canadiens, il en est une très simple facile à populariser, et en plus, de haute gravité. Avec un minimum de pédagogie, on peut mettre cette faute inexcusable à la portée du grand public ; il serait important de le faire en cette période électorale.

Cette escroquerie, c'est la notion de ''réduction'' du pourcentage du risque soi-disant diminué conféré par la ''vaccination'' avec les produits Pfizer. Une explication très claire peut être diffusée, du niveau du CM2 et même, pour les plus anciens d'entre nous, au niveau du CM1. Ce qui rend impardonnable, par exemple, de la part d'un personnage haut placé comme le président de la république ou le premier ministre, de ne pas y avoir sérieusement réfléchi avant de prendre des décisions lourdes de conséquences néfastes. On conçoit que ces hauts personnages n'aient pas à entrer dans les détails de questions d'une haute technicité (comme par exemple la question de l'énergie nucléaire civile) ; mais s'agissant d'une falsification dont l'explication est accessible à un élève de CM1 ou de CM2, cette ignorance n'est ni acceptable ni excusable.

Voici donc cette explication simplifiée :

Avant d'autoriser un vaccin, on doit procéder à des essais dont les protocoles sont rigoureux et incontournables.

¨Pfizer a annoncé à grand son de trompe que son vaccin était ''sûr à 95 %''.
Il a pris deux échantillons de population ''représentatifs'' (notion mathématique destinée à être sûr que ces échantillons sont réellement pris au hasard), disons E1 et E2.

E1 sera inoculé avec le candidat ''vaccin'' , et E2 (le ''placebo'') ne sera piqué qu'avec de l'eau salée (sérum physiologique). Aucun membre de E1 ni de E2 ne saura s'il appartient aux inoculés ou aux placebos.

E1 et E2 comportaient le même nombre de personnes, très voisin de 18200.

On a piqué tout le monde dans ces règles, on a attendu une semaine pour savoir qui a été contaminé par le COVID. Attention, ici c'est très important et ça fait partie de la falsification : on n'a voulu savoir que ça et rien d'autre : qui a été contaminé par le COVID.

Le résultat est tombé : 8 contaminés dans E1 et 162 dans E2.

On calcule le quotient 8/162,c'est faisable à la main par un élève de CM1. On obtient aisément 8/162=4/81, la division est ''à deux chiffres'' et si on la stoppe à la troisième décimale, on obtient avec une approximation très fine: 8/162 =0,05 = 5%.

Par différence, on a :1- (8/162) = 0,95 = 95 %, et Pfizer en conclut que le pourcentage des personnes qui n'ont pas été contaminées est 95 %, donc que son ''vaccin'' est sûr à 95 %.

Toutes les autorités françaises ont repris cette conclusion avec fierté et arrogance, pour écraser de leur mépris les ''négationnistes du vaccin''.

Mais cette fierté et cette arrogance ne font que démontrer leur ignorance et leur manque total de réflexion.

Car cette annonce fracassante, même si elle a rempli ras bord l'escarcelle de Pfizer, est hautement frauduleuse.

Car dans l'affaire, on a passé à la trappe plein de choses : en premier lieu, les (18200 x 2)-(162+8)=36230 personnes qu'on a dérangées pour cet essai : comme par un presdidigitateur qui escamote un lapin, tous ces gens ont disparu de la scène !

Et en second lieu, on n'a pas dit un mot des éventuels effets secondaires des innoculations dans E1. Or vu la proportion habituelle de ces effets qui va jusqu'à 20 ou même 25 % des échantillons de population, il y a eu au minimum bien plus de 2000 effets secondaires dans E1 : ceux-là aussi ont disparu, et 2000, c'est nettement plus gros qu'un lapin !

Alors réintroduisons ces disparus.

1) que prouve l'essai ? sur 18200 personnes au hasard de E2, le pourcentage de ceux qui ont contracté le COVID est

162/18200 = (à moins de 10^(-5) près) 0,0089 = 0,89 %

8 /18200 =0,00044 par excès, soit 0,044 % par excès.

Faisons la différence 0,89 %-0,044 % = 0,846 %

Ces calculs ultra-élémentaires montrent ceci : la probabilité pour une personne non vaccinée de contracter un COVID est inférieure à 89/1000, donc moins de 1 %. Et la probabilité pour une personne vaccinée d'attraper un COVID est inférieure à 5/10000, soit 0,05 %. Le gain est maigre : 0,846 %,bref moins de 1 %.

Les protocoles officiels recommandent aux fabricants de vaccins de donner les dernières évaluations, c'est-à-dire celles que nous venons de calculer : ces évaluations sont dites ABSOLUES, tandis que les 95 % sont dites RELATIVES et sont considérées comme sans valeur dès lors que les échantillons de population ont un nombre de personnes important. Si les autorités avaient observé les recommandations des protocoles, ils auraient dû dire aux foules :

'' vaccinez-vous, c'est merveilleux : au lieu d'avoir un peu moins de 1 % de risque d'attraper le COVID, vous n'aurez plus que 0,05 % de risque''.

On imagine le peu d'empressement des foules à aller se vacciner si on leur avait dit cette vérité-là : la plupart des citoyens auraient préféré garder leur moins de 1 % de risque que prendre des risques inconnus avec un vaccin controversé sorti en moins d'un an alors qu'il faut généralement 10 à 15 ans pour mettre au point un vaccin sûr.

2) Mais cette escroquerie n'est pas la seule. Nous avons vu qu'au minimum 2000 effets secondaires notables ou graves dans E1 ont été ''oubliés''.

Dans les vaccins classiques, au stade des évaluations des risques, les effets secondaires sont presque tous supprimés, donc il est d'usage de décompter ces effets pour évaluer le pourcentage des personnes de E1 ayant contracté le COVID, car les effets secondaires doivent être rajoutés à ceux qui ont contracté la maladie, étant des maladies différentes certes mais dues au COVID lui-même, sans lequel il n'y aurait pas eu ce ''vaccin''. Donc Pfizer aurait dû rajouter au moins les effets secondaires graves. Leur nombre est partout évalué à1/20 des effets secondaires toutes catégories, même les plus anodins. Il aurait donc fallu rajouter aux 8 contaminés les 2000/20=100 effets secondaires graves de E1. Par suite, il faut remplacer le nombre 8 par 8+100 =108.

Donc quel est le vrai gain de l'inoculation ? d'un côté, 108/18200= (sensiblement) 0,006 =0,6 %, et de 'lautre, 0,0089 = 0, 89 %
Donc Si Pfizer avait été honnête, il aurait dû dire que le pourcentage relatif révélé par l'essai a été 0,89-0,6=0,29 %, et qu'au lieu d'avoir un risque de 0,89 % d'attraper le covid pour un non vacciné, un vacciné n'avait plus que 0,6 % d'attraper le covid ou un gros ennui de santé provoqué par le vaccin. Là, les ''vaccinodromes'' seraient à coup sûr restés vides !


Ces explications ci-dessus sont très simples, à la portée de quasiment tout le monde. Les citoyens même peu instruits peuvent les comprendre. Ils ont droit au respect, on doit donc leur dire la vérité. C'est la moindre des choses de les informer honnêtement.

Ce qui précède ne montre qu'un aspect, le plus simple de tous, des escroqueries inexcusables de Pfizer. Il est impardonnable que des pouvoirs publics, en principe au service du peuple et non pas désignés de droit divin pour leur donner des ordres sans justification, aient fait l'impasse su ces escroqueries.

La plupart des autres escroqueries sont plus subtiles, mais non moins graves. Les internautes les plus courageux peuvent les étudier à loisir dans la vidéo des 500 médecins canadiens. On ne remerciera jamais assez TVS24.ru de nous permettre d'écrire tout cela quelque part.

Je termine en faisant remarquer que Pfizer, pour vendre son produit frauduleux, s'est permis de changer la définition d 'un vaccin. Cette
entourloupe est insupportable et doit être refusée avec la dernière énergie par la grande masse du peuple. Toutes les personnes spécialistes dans des disciplines liées de près ou de loin à la médecine doivent s'accrocher mordicus à la définition classique d'un vaccin, ceux qui ne le feront pas sont des traîtres à la seule cause qui devrait les animer : la cause du peuple français.

Voici la définition classique d'un vaccin :

''Vaccin = Produit conférant une immunité à une maladie particulière bien identifiée''.

Voici la ''nouvelle '' définition utilisée par Pfizer :

''Vaccin = produit aidant le système immunitaire humain dans sa lutte contre une maladie donnée ''.

On lit et on relit ces définitions jusqu'à ce qu'on prenne bien consience du changement : selon Pfizer, un produit qui aide le système immunitaire humain dans sa lutte contre une maladie est automatiquement un vaccin MEME S'IL NE CONFERE AUCUNE IMMUNITE.
Mais ça ce n'est pas pour un vrai vaccin, c'est ni plus ni moins que la définition d'un vulgaire MEDICAMENT, appelé jadis un ''REMEDE''.

Alors que tant de vrais savants ont passé leur vie à mettre au point des vrais vaccins, les voilà donc, par Pfizer, relégués au rang de simple médicament !

Je répète : le peuple doit refuser avec la dernière énergie cet odieux tour de passe-passe qui constitue une insupportable régression dans l'art de la médecine ! Cette autre escroquerie permet à Pfizer de mettre sur le marché des médicaments qui ne confèrent aucune immunité et pire, ne préservent pas le ''vacciné'' d'une éventuelle recontagion par sa maladie, et pire encore,n'empêche pas les ''vaccinés'' de transmettre leur maladie aux autres !

Pourquoi cette entorse à la rigueur du vocabulaire ? mais tout sordidement, parce que ''vaccin'', ça fait vendre bien plus que ''médicament'' ! or ce qu'a fabriqué Pfizer mérite au mieux (à condition d'en corriger les défauts) le nom de ''médicament''.