Direct du 27 mars 2021 : dangers du confinement, ANSM, vaccins, Chili/AFP...
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Direct du 27 mars 2021 : dangers du confinement, ANSM, vaccins, Chili/AFP...
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JNOGUES 03/28/2021 Répondre Signaler un abus
Les probabilités ont bon dos :
Pour dénier l'action létale de l'ASTRA ZENECA, le gros argument invoqué par les covidistes pour faire taire les protestations est le suivant :
''Le nombre des décès est très faible par rapport au nombre des vaccinés. A tout âge, la mort prélève son quota à peu près également, ce quota est inférieur au quota des morbidités naturelles, donc il n'existe aucun lien de cause à effet entre ces comorbidités et le vaccin.''
D'une part ce raisonnement est malaisé à traduire en chiffres sonnants et trébuchants, c'est-à-dire en termes valides sur le marché de la preuve certaine. Et d'autre part, en l'analysant bien, on voit que ce raisonnement est vérolé par des tas de présupposés indémontrés.
Mais tout ça n'est que poudre aux yeux par rapport à la sévère réalité. Il existe plus de 350 maladies infectieuses et autant de maladies non infectieuses (cardio-vasculaires, génétiques, parasitaires, accidents du travail ou de transport...), qui tuent chaque année les humains de tous âges en des proportions fonctions de l'âge. Depuis le début des vaccinations, il y a eu de par le monde plus de 56 000 effets secondaires graves ou très graves et plus de 2500 décès. Sur plus de 7 800 000 000 de personnes en vie dans le monde, il y a eu 130 000 000 de vaccinés depuis un an. Et sur ces 130 000 000, on a déjà plus de 56 000 incidents graves et plus de 2500 décès en rapport avec la vaccination de près ou de loin. Le nombre des décès attribués au covid de par le monde en un an est un peu moins de 3 000 000.
Si l'on rapporte tout au nombre d'habitants du monde en un an, nous avons :
Plus de 70 millions de décès ''naturels'', c'est-à-dire ''habituels'' ( toutes maladies et accidents confondus hors covid). Donc les décès ''habituels''' donnent vff environ 96% du total des décès, et le total des décès représente moins de 0,9 % de la population mondiale moyennée sur une année. Là-dessus, le covid a tué 37 personnes sur 100 000 dans la population du monde alors que les décès habituels en ont tué environ 900 sur 100 000.
PREMIERE CONCLUSION : la probabilité de mourir en ce bas-monde, depuis un an, a été 0,9 % toutes populations confondues.
Là-dessus, la probabilité d'être mort du covid (en admettant les chiffres officiels, dont l'honnêteté mériterait une enquête serrée), a été 0,037 %, donc environ 25 fois moins que la probabilité globale de mourir. En d'autres termes, seulement 1 décès sur 25 est imputable au covid, en admettant que les statistiques officielles soient honnêtes, ce qui reste à démontrer. Alors qu'un décès sur trois est dû au cancer, un sur quatre à des affections cardio-vasculaires, un sur cinq au diabète, le reste aux maladies génétiques et à celles du vieillissement (drépanocytose, Parkinson, Alzheimer, etc)....
Mais tout cela est grossier et ne décrit pas la réalité effective. C'est une statistique globale qui ne donne que ce qu'elle a. N'importe quel covidiste endurci sera d'accord avec ces estimations. Il est surentraîné pour en déduire ce qu'il voudra : ces chiffres ne l'empêcheront pas de continuer à dramatiser la situation et à terroriser les masses.
Il faut donc regarder tout cela de plus près. Nous pouvons le faire sur la France, car elle est assez peuplée pour pouvoir y appliquer les lois des grands nombres
1) Une première correction majeure doit être opérée sur ces données primaires, du fait que la moyenne d'âge des décès par covid est en France 81 ans, c'est-à-dire l'espérance de vie moyenne à la naissance, les deux sexes confondus.
Il y a en France environ 1800 000 hommes et 2 200 000 femmes de plus de 81 ans, soit en tout 4 000 000 de personnes. Ces personnes sont à 70 % atteintes de comorbidités. Cependant, celles d'entre elles qui sont traitées pour un covid survivent à cette pathologie à 90 %. (cette proportion est la même à 80 ans et à 90 ans).
Le nombre total des pensionnaire en EHPAD en France est autour de 600 000. Il en meurt en moyenne 150 000 par an.
Admettons l'hypothèse extrême et non réaliste que tous seraient atteints du Covid. D'après ce qu'on vient de voir, seulement 15000 par an mourraient donc du covid. Ce qui ferait une moyenne de 41 par jour. Or on nous annonce chaque jour des drames, des hécatombes dans les EHPAD, jusqu'à 600 décès par jour, pour cause du covid. Lors des ''crises'', chaque soir les amis de M. Salomon égrènent des statistiques funèbres concernant les morts par covid en EHPAD, c'est pendant des dizaines de jours qu'on annonce chaque soir dans les médias autorisés des scores de 500, 600, voire 700 morts par jour dans les EHPAD.
Dix jours 'affilée à 500 morts par jour, ce serait dix jours d'affilée plus de 12 fois plus que la moyenne quotidienne de 41. C'est grossièrement incompatible avec les lois de l'écart quadratique moyen des écarts par rapport à la moyenne; la probabilité d'un tel événement est infime, de l'ordre d'une chance sur 10 000. Et cela, malgré l'hypothèse absolument folle que tous les pensionnaires dans les EHPAD seraient atteints du covid. Cette invraisemblance mathématique tend à démontrer que les statistiques des chiffres d'une forte proportion des personnes décédées en EHPAD déclarées mortes du covid sont faussées, et lourdement. Ces personnes, en réalité, sont décédées des suites de leurs maladies chroniques qui traînent depuis parfois plus de 20 ans, puisque 72 % de ces personnes sont atteintes de comorbidités sérieuses, létales à moyenne échéance. Cette distorsion mathématique dingue justifierait à elle seule qu'une enquête honnête, libre et indépendante, soit menée pour déterminer le vrai pourcentage de pensionnaires des EHPAD décédés du covid. Ce problème majeur n'apparaît pas dans les statistiques globales données en préambule. Toutefois, ce problème jette une ombre inquiétante sur la validité des chiffres mondiaux, car il est très difficile de croire que seule la France pratiquerait ces truquages de statistiques tendant à dramatiser le covid.
2) une seconde invraisemblance caricaturale vient aggraver les doutes qu'on peut légitimement nourrir sur les statistiques des victimes des vaccins. Ne nous occupons que des décès, en nombre supérieur à 2500 de par le monde, sur 130000000 de personnes déjà vaccinées.
Nous allons mener un calcul grossier, mais quand même significatif. Nous utliserons pour cela les statistiques mondiales. Parmi les personnes vaccinées, la proportion de celles qui vont mourir dans l'année pour n'importe quelle cause est donc 0,09 %.
Donc 0,09 % de 130 000 000 = 11 700 000 vont mourir d'une cause quelconque. La probabilité que la cause de ces décès soit étrangère au covid est 0,96, comme on la vu plus haut. Ce sont là des statistiques ANNUELLES. Soit une tranche de temps de un mois commençant au moment de la vaccination et se terminant un mois plus tard. Dans cette tranche d'un mois, il y aura donc environ 11700000/12=975000 décès indépendamment du covid donc aussi du vaccin.
Considérons alors n personnes vaccinées décédées durant ce mois; et chaque fois, d'une cause autre que le covid. Cette cause sera aléatoirement l'une des multiples autres causes que le covid, ce ne sera pas forcément la même. Soit C le nombre des causes possibles non liées au covid. C'est un nombre de l'ordre de plusieurs centaines vu le nombre effarant de pathologies humaines létales (350 maladies infectieuses et autant de maladies autres qu'infectieuses). La probabilité pour que n vaccinés morts durant ce mois mais non du covid soient morts de la même cause est (1/C)^n. Or ils sont tous morts de la même cause, ces vaccinés morts d'une autre cause que le covid.
Pour nos assurer une grosse marge d'erreur, prenons par exemple C=10. Prenons n=120. Ces 20 personnes sont décédées de la même cause étrangère au covid : une thrombose vasculaire. On a alors :
(1/C)^n = (1/10)^20=10^{-20}=1/100000000000000000000
Or la réalité est bien pire que ces chiffres effarants. Il y a plus de N= 2000 décès, donc cent fois plus que notre choix de n; Il et il y a bien plus de causes possibles étrangères au covid dont meurent les humains ''couramment''. Donc la probabilité pour que ces N vaccinés soient tous décédés de la même cause étrangère au covid est tellement infime qu'elle est des millards de millards plus faible que la probabilité de gagner le ros lot au loto en un seul coup. Il y a là une impossibilité MATHEMATIQUE.
Même avec six vaccinés décédés de la même cause no covidesque,l'invraisemblance est déjà là :
(1/10)^6= 1/1000000, un millionième. Avec n=7, la probabilité devient un dix-millionième, onatteint là la probabilité de gagner le gro lot du loto en une seule fois.
SECONDE CONCLUSION
La conclusion s'impose de façon accablante : les 2000 personnes décédées sot forcément mortes à case du covid, et cette cause ne peut qu'être liée au vaccin puisque la manifestation du covid létal n'est nullement une thrombose vasculaire, c'est une insuffisance respiratoire sévère entraînant la mort.
Comme on le voit, il n'y a pas besoin d 'un grand nombre de cas anormaux pour être certain, mathématiquement, qua la cause du décès des N personnes victimes de thrombose est nécessairement liée au vaccin qui défraie la chronique. Il suffit de sept cas de thrombose pour emporter la certitude absolue.